Escale à Dublin

Publié le par Sylviane et Didier OBLIN

A-Dublin--dans-le-salon-de-l-h-tel--on-attend-le-taxi-qui-doit-nous-conduire---l-a-roport--on-est-le-19-f-vrier-2008--640x480--copie-1.JPGDans le salon de l'hôtel, on attend avec impatience 
le taxi qui doit nous reconduire à l'aéroport. 
Destination finale : Los Angeles sans escale,
11 heures d'avion.
 
Avant d'embarquer, il faut passer à une premère porte où on nous donne des fiches à remplir. Interdiction de transporter des produits alimentaires : on jette nos sandwichs, nos ships... Recontrôle. 
Il faut sortir nos ordinateurs de nos bagages... 
Ouf ! on est dans la salle d'attente. L'avion aura un peu de retard.... Patience et c'est l'embarquemement. 
On est installé au milieu mais les places sont larges. On regarde pas moins de trois films... tout en américain. On est dans le bain ! Ah, non, on est dans les nuages. L'avion a décollé ! Il passe au dessus du Groënland : - 56° dehors!! On n'a pas ouvert la fenêtre !
Le voyage se déroule bien. Mieux que nous l'avions imaginé. On nous donne à manger. On alterne la télé, les livres, les revues et on mange... Dès 10h 30, une boisson et un sachet de biscuits salés. 13 h 30, Irish Stew, petite salade. Entre deux : café, thé, chocolat... On est chouchouté ! 
A notre arrivée, un accueil chaleureux !
Nos bagages arrivent les premiers sur la tapis roulant. Dans le hall, trois personnes avec une grande pancarte en main undefinedavec "DIDIER et SYLVIANE" écrits en grand ! C'est Pascal, le directeur, Jean, le factotum et Suzanne, la présidente des parents d'élèves qui nous offre un bouquet de roses et son sourire . On s'embrasse. Ils nous invitent à aller prendre un café. Le café est horriblement fort mais leur gentillesse nous fait oublier le goût amer et notre fatigue. Pascal et Jean doivent partir pour une réunion mais Jean est missionné pour nous conduire à notre hôtel et nous accompagner pour aller chercher notre voiture de location. Arrivée à l'hôtel, petit problème. La réservation a été faite par téléphone par Pascal et ce n'est pas lui qui est là pour confirmer et prouver son numéro de carte de crédit. C'est Jean qui est obligé de payer la première nuit ! 
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